Portfolio Categories portfolio
photographe, genevieve gleize
-1
archive,tax-portfolio_category,term-portfolio,term-20,theme-stockholm2024,qi-blocks-1.3.4,qodef-gutenberg--no-touch,stockholm-core-2.4.5,woocommerce-no-js,qodef-qi--no-touch,qi-addons-for-elementor-1.8.1,qode-quick-view-for-woocommerce-1.1.1,qqvfw--no-touch,qode-wishlist-for-woocommerce-1.2.5,qwfw--no-touch,select-child-theme-ver-1.1.2,select-theme-ver-9.12,ajax_fade,page_not_loaded,vertical_menu_enabled,paspartu_enabled,menu-animation-underline,side_area_uncovered,,qode_menu_,qode-single-product-thumbs-below,wpb-js-composer js-comp-ver-7.9,vc_responsive,elementor-default,elementor-kit-1909

Les baigneurs d’hiver

J’ai rencontré par une journée d’hiver des gens heureux.
Patrick, Magali, Nicolas, Ara, Chantal, Didier, Maxime, Fanny, Odile, Anne…
Rituels, simplicité, endurance, plénitude.
Ils se baignent tous les jours de l’année.
Ce jour-là de décembre la mer était à 13 degrés.

  • Marseille 2020

[+]

 

 

Dead Grocery

Lauréate du Prix Carte Blanche du Photo Brussels Festival 2019 avec Dead Grocery (produite par Hangar – Photo Art Center), j’ai conçu pour cette exposition une installation photographique immersive au moyen de très grands formats et d’une bande son, afin de plonger le visiteur au cœur d’une vie immobile, celle d’une épicerie de village abandonnée. [+]

 

… tout ici semble mort et déserté, mais tout ici ne nous parle que de vie enfuie … Sabine Bouyala, écrivain

fondation hôpital saint joseph

En résidence d’artiste

Cette résidence s’inscrit dans la durée. Imaginée pour donner à voir la vitalité de la Fondation et l’engagement des personnels au quotidien, elle s’inscrit dans un projet culturel et artistique plus vaste autour du patrimoine et de l’héritage de l’institution. La charité et l’esprit philanthrope de l’abbé Fouque, son fondateur, les relations humaines, le soin, sont au centre de la démarche. Cette approche artistique intègre aussi l’histoire du lieu, aujourd’hui gommée par la modernisation et la normalisation des équipements dictées par les impératifs sanitaires et économiques.

50 dey street I série 2

[…] Un couloir sombre et, tout au bout, une lourde porte coupe-feu, ouverte sur un espace nu. Seule une chaise rouge est posée devant une colonne en forme de fleur de lotus. La lumière du matin baigne l’ensemble. Il fait froid.
Une odeur âcre, mélange de poussière et de graisse, s’exhale du sol. A travers les carreaux crasseux, on entrevoit la ville, la vie. […]
Découvrir encore un mot, une forme, des couleurs, un signe oublié. C’est cette deuxième approche que je propose dans l’exposition 50 Dey Street # 2.
Certains étages sont à présent devenus des entrepôts, d’autres sont occupés par des artistes, quelques-uns sont encore fermés.